Inauguration du 6zero1, incubateur d’entreprises sociales

Le 15 mars, Leurs Altesses Royales le Grand-Duc et la Grande-Duchesse ont inauguré l’incubateur d’entreprises sociales, le 6zero1, en présence du ministre du Travail et de l’Economie sociale et solidaire, Monsieur Nicolas Schmit.
La Fondation du Grand-Duc et de la Grande-Duchesse est un des trois membres fondateurs du 6zero1, les deux autres partenaires étant le ministère du Travail et de l’Economie sociale et solidaire et l’Union luxembourgeoise de l’Economie sociale et solidaire (ULESS).

Implanté à Differdange au sein du 1535°, l’incubateur est une initiative pionnière au Luxembourg. 6zero1 a pour vocation d’héberger et d’accompagner exclusivement le développement d’entreprises sociales. Il met à disposition des porteurs de projets un espace de travail et leur offre des conseils ainsi que des formations pour les accompagner tout au long du processus de création et de lancement de leur activité à finalité sociale ou sociétale. L’incubateur a accueilli ses premiers occupants en janvier 2017 à l’issu d’un appel à candidatures. Un second appel à candidature sera lancé prochainement.

© 2017 Cour grand-ducale / Charles Caratini / Tous droits réservés

Son Altesse Royale lors de son allocution

© 2017 Commune de Differdange / Claude Piscitelli

Dans son discours qu’elle a prononcé lors de l’inauguration, en sa qualité de présidente de la Fondation du Grand-Duc et de la Grande-Duchesse, Son Altesse Royale la Grande-Duchesse voit dans le 6zero1 « un formidable potentiel de création de richesse au service de l’intérêt général et de la lutte contre l’exclusion ». « Ce lieu unique, qui était autrefois une usine sidérurgique, accueille maintenant des entrepreneurs qui ont une nouvelle façon de voir l’économie, une économie inclusive qui rend le capitalisme plus humain, plus raisonné et plus acceptable », s’est félicitée la Grande-Duchesse.
« Je suis fière, a-t-elle ajouté, que notre Fondation soit associée à la création du 6zero1 qui servira, je l’espère, de tremplin à toute une nouvelle génération de femmes et d’hommes pour lesquels la vraie richesse d’une entreprise se calcule davantage en termes d’impact social qu’en fonction de ses bénéfices engrangés ».

© 2017 Commune de Differdange / Claude Piscitelli